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Seylvie
Pelsen
Traversées
Photographier, c'est écrire avec la lumière.
On l'attend, la mesure, la laisse se glisser derrière les collines, les façades d'immeubles ou les sous-bois, cette lumière du crépuscule, de l'aube ou dorée du soir.
Puis on apprend à s'en saisir comme la présence d'un corps pour dire cette incertitude d'être, un mouvement, une métamorphose, un envol, un souffle...
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